Sous couvert d’un très ordinaire professeur d’archéologie et d’un passionné pour les artefacts rares, il aurait été ainsi au centre d’une cellule d’ultra gauche radicale, dite “Antifa” et aurait opéré en Europe, en Asie et aux Etats-unis entre les années trente et les fin des années soixante. “Il s’est semble-t-il radicalisé tout seul mais il est possible qu’il y ait des complices” a estimé un porte-parole de l’université qui a annoncé qu’elle allait collaborer avec les autorités et le gouvernement de Donald Trump. “On sait qu’il a déclaré devant témoins, “les nazis, je hais ces gars-là” c’est un discours de haine radicale” a affirmé Laura Loomer, une chroniqueuse conservatrice.
Parmi les complices identifiés se trouveraient un immigré égyptien déjà impliqué dans le pillage du site archéologique de Tanis en
Source : https://www.legorafi.fr/2025/09/19/une-universite-americaine-lance-une-enquete-sur-un-professeur-darcheologie-accuse-davoir-ete-un-antifa/ Lire la suite :