« Les gens se moquent de nous mais on a tendance à oublier la pénibilité du travail de happiness manager » explique-t-il tout en déchargeant des palettes de paperboards sur lesquels seront écrits les plannings des activités de la semaine. « C’est beaucoup d’investissements, de tests. Par exemple, avant d’installer un baby-foot en open-space, entre 3 et 6 mois de tests intensifs pour trouver le bon et croyez -moi, tout cela a un impact sur la santé ».
Jérémy aborde ensuite la complexité de l’organisation de tels tournois de baby-foot en open-space, tout en envoyant un mail collectif pour la soirée déguisée spécial afterwork thématique « Wednesday » qui aura lieu au pub o’Sullivans après 17h (RSVP). « Il faut faire des tableaux Excel, envoyer des mails, organiser les tournois, acheter des boissons et des petits chapeaux
Source : https://www.legorafi.fr/2023/01/19/un-happiness-manager-ne-se-sent-pas-capable-dorganiser-des-tournois-de-babyfoot-en-open-space-jusqua-64-ans/ Lire la suite :