Accusée à demi-mots par une officine des Nations unies d’avoir facilité le transfèrement en Irak de certains de ses ressortissants, la France a vivement réagi par la voix de sa diplomatie.
Le mois d’août, traditionnellement chiche en actualités dignes de ce nom, est un terrain propice à la croissance d’affaires d’été que l’oisiveté des Français promeut parfois au rang guère plus digne de la polémique abracadabrantesque.Ainsi la publication ce lundi d’une lettre d’Agnès Callamard, rapporteure spéciale du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme (HCDH) sur les exécutions extrajudiciaires, sommaires et arbitraires.
Derrière ce titre pompeux se cache une femme qui avait déjà tenu il y a quelques semaines des propos désobligeants sur l’Arabie Saoudite, un partenaire commercial pourtant fort respectable de la France.La nouvelle libelle de Mme Callamard