Nettoyer les rues au kärcher, c’est un rêve qu’ont eu avant Anne Hidalgo de nombreux chefs politiques de France et de Navarre. En effet, la propreté de Paris a toujours été en question, trottoirs, égouts mais également tags humanistes sur les parois des immeubles haussmaniens. Le coronavirus est l’occasion pour la ville de Paris de se refaire une beauté et de repartir sur des bases saines après cette crise sanitaire et érotique majeure.
Bactéries, virus, fomites ou encore chats érrants. Nombreuses sont les sources d’infection liées au coronavirus dans les rues de la capitale et il est désormais prioritaire dans l’optique d’un retour à la normale de réduire le facteur risque.
« Lorsque je sors, j’ai peur de toucher le sol et de manger du gravier, ce n’est pas comme
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