Le gouvernement avait promis des compensations pour que les enseignants ne soient pas les grands perdants de la Réforme des retraites. Au cours d’un rencontre avec des professionnels, Jean-Paul Delevoye a dévoilé une première piste : reconnaître le « clic » des stylos comme motif de pénibilité.
La pénibilité au travail est définie par l’exposition à des facteurs de risques liés, par exemple à un environnement agressif. D’après le haut-commissaire aux retraites, les petits bruits répétitifs que les enseignants doivent supporter à longueur de journée entrent parfaitement dans ce cadre. En conséquence, Jean-Paul Delevoye propose d’en faire un motif de bonifications spécifiques dans le cadre du futur système de retraite.
Stylos « quatre couleurs » pris en compte d’une façon ou d’une autre.
Les points supplémentaires accordés au titre des « clics » seraient proportionnels à l’exposition au
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