Alors que la polémique autour des chiffres de participation à la primaire de la Belle Alliance Populaire se dégonfle, l’entourage de Manuel Valls s’élève aujourd’hui contre un possible manquement au règlement dans un bureau de vote en Syrie.
Contrairement à la plupart des autres Français de l’étranger, les nombreux djihadistes français établis à Raqqa, la capitale de l’Etat Islamique en Syrie, ont pu voter physiquement et non par voie électronique.Selon le comité d’organisation de la primaire, cette exception se justifie par le besoin de respecter l’intégrité du vote. « Les communications électroniques en provenance des territoires sous contrôle de Daesh sont surveillées, » expliquait ainsi en novembre son président Christophe Borgel. « De toute évidence, cela porte atteinte au secret et à la transparence du vote. Nous avons donc