La fête aura été de courte durée. La joie de la découverte et de la première photo du trou noir MR87* a été contrebalancée par les premiers signes d’une pollution massive aux micro-plastiques au sein même du trou noir. Reportage.
La faute à la diffusion massive des photos sur internet et sur les réseaux sociaux qui a provoqué un afflux massif de visiteurs aux abords du trou noir. Conséquence : le site est déjà très pollué, plusieurs agrégats stellaires vont devoir être fermés au public le temps que les responsables de l’agence spatiale européennes les nettoient. « C’est dramatique, on pensait que les gens seraient un peu plus responsables » explique Katie Bouman la scientifique qui a elle-même permis la photographie du trou noir. « Je lance un appel, ne venez pas saccager