Soucieuse d’améliorer son image de marque, Uber a annoncé ce matin qu’elle demanderait désormais à chacun de ses chauffeurs de posséder un permis B en règle. Une mesure qui marque un tournant décisif dans l’histoire de l’entreprise californienne.
“Pendant longtemps, on n’a pas pensé à vérifier si nos chauffeurs étaient habilités à conduire un VTC. On les formait seulement à offrir des bonbons, faire la conversation tout ça… Ce n’est qu’avec tous les accidents qu’on a réalisé qu’une grande partie d’entre eux n’avaient jamais conduit de voiture de leur vie. C’est fou !” s’amuse Dara Khosrowshahi, le PDG du groupe.
Pour y remédier, l’entreprise se veut désormais intraitable et a mis en place un programme destiné à former ses chauffeurs les moins expérimentés. “Ils seront accompagnés d’un moniteur et