« Ce serait bien trop facile ! » explique Muhammed Mounoundi, Président des Nations Unies. « C’est bien trop tôt pour décider d’éliminer tous les blancs, il faut d’abord qu’ils payent, d’abord à nous, mais aussi à tous les peuples de la planète à qui ils n’ont cessé de causer tous les maux ! »
Mais le vote a été très juste, la plupart des pays africains et arabes ayant en effet voté en faveur de la « solution immédiate et finale au problème blanc ».
« C’est simplement politique », explique, dépité, Mamadou Gounzali, représentant permanent de l’Afrique du Sud auprès de l’ONU, et auteur de la motion proposée. « Comme ce sont les blancs qui paient 99% des frais de fonctionnement de l’ONU, ces gens rechignent à les exterminer, ce qui est pourtant la solution. On voit que le privilège
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