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Jean Rottner n’y est pas allé de main morte : après les bretons et les corses, ce sont les alsaciens qui ont décidé de s’en prendre à Paris et de rejoindre la résistance contre « le plus grand
ennemi de la France, » comme l’a dit le président de la région Grand Est.
Egalement maire de Mulhouse, Rottner a organisé la semaine dernière une enquête et recueilli l’avis de milliers d’alsaciens et alsaciennes. Le but ? Etablir si oui ou non le département est prêt
à « remplacer Paris par un grand trou » comme prévu par la Corse, plan qui avait fait grincer des dents nos pas potes parigos, qui avaient tenté une faible contre-attaque culturelle. C’est
Anne Hidalgo et
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