“J’ai bien réfléchi et seul Philippe me semble à même de sauver la France de son inexorable déclin” a détaillé Nicolas Sarkozy
. “Son goût du travail, son appétence pour les marketplaces, son réalisme et son pragmatisme en matière de flexi-sécurité font de lui un leader tout choisi pour évoluer dans une économie de marché globalisée. Et qui de mieux pour tenir tête à Poutine dans un anglais approximatif ?”
Si certains lui reprochent de trahir Valérie Pécresse
, la candidate de son parti, ou le locataire de l’Élysée dont il est proche, Nicolas Sarkozy
a balayé ces critiques d’un revers de la main. “Valérie est trop tendre en matière d’immigration, quant à Emmanuel je doute de sa capacité à instaurer un libéralisme sauvage et décomplexé. Non, le seul qui peut