Frédéric, un policier de la banlieue parisienne, refuse de laisser ses opinions racistes influer sur son son travail. Reportage.
« Je prends mon travail très à cœur, et je trouve ça très important de séparer vie personnelle et vie pro », explique ce policier de 37 ans. « Certes, je suis convaincu qu’il faut résister contre la disparition de la race blanche. Mais est-ce que c’est pour ça que je vais mêler mon travail à ça ? Non, je respecte ma profession et je suis conscient que mes convictions sur la hiérarchie des races n’a rien à faire là-dedans », poursuit Frédéric en démontrant un professionnalisme évident. « Quand je suis au travail, je travaille. Je garde mon comportement raciste pour quand je rentre chez moi et que je