Une nouvelle étude révèle la grande fragilité des Blancs et montre à quel point ils sont douillets, sensibles, précieux, relous, fatigants, en un mot, de gros fragiles. Reportage.
« Ce sont quand mêmes de gros fragiles » explique le professeur Linnien qui a supervisé l’étude sur plusieurs spécimens de Blancs. « Les Blancs sont sensibles à peu près à tout et n’importe quoi, ils se plaignent dès qu’il pleut, qu’il fait beau, dès qu’il fait chaud, froid, pas assez chaud, pas assez froid, trop de soleil, pas assez de soleil, c’est très difficile de lister tout ce qui leur convient ou pas, ou pas assez, ou trop » commente-t-il. Il précise ainsi que le Blanc est « un poil, voire très relou » et qu’il ne supporte pas non plus qu’on lui explique qu’il est