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Metz – Depuis quelques jours, Léa Malaurié fait parler d’elle dans tous les journaux locaux pour une affaire de viol. La semaine dernière, elle a porté plainte « après cinq ans à vivre dans la
peur » contre cinq hommes pour viol collectif. Elle avait 19 ans au moment des faits, et « il ne se passe pas une seule journée sans que j’y repense. »
Une fois n’est pas coutume, même si dans plus de 98% des cas les accusations sont justifiées et que les faits sont avérés, Léa n’a pas reçu que du soutien. Insultes, lettres et mails de menaces,
tags sur sa porte, visites d’amis des accusés… des traumatismes supplémentaires qui font qu’on pourrait se dire que si une victime porte
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