«S’il ne se fout pas de notre gueule, c’est bien imité !» C’est par ces mots qu’Abou Bakr Al-Baghdadi, numéro un de Daech donné pour mort par les médias autant de fois que Johnny Hallyday, nous a résumé ses recherches pour l’instant infructueuses, («mais on le trouvera, inch’Allah»), visant à mettre la main sur Alain Hacquebart, qui semble fasciner une génération entière de djihadistes depuis un certain nombre d’années. Un communiqué qui tombe à point nommé, tant les spéculations allaient bon train sur les raisons poussant les terroristes à crier le nom de ce citoyen lambda, inconnu des services de police, et qui selon ses propres dires «n’avait rien demandé à personne». De quoi donner une toute autre signification aux dramatiques évènements survenus en Europe depuis 2012.
«Hacquebart s’est amusé à donner
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