« Mon dieu quelle atrocité économique ! » s’est-il exclamé au sortir de ce rêve étrange et pénétrant dans lequel le ministre de l’économie faisait face à une situation complexe et inédite où il n’y avait absolument plus rien à privatiser. Reportage.
« J’en ai encore des sueurs froides » explique-t-il lors d’une conférence de presse dans sa salle de bain. Entre deux brossages de dents, il témoigne. « Tout avait été privatisé auparavant par d’autres gouvernements. La seule option qui me restait alors était de renationaliser et de reprivatiser derrière mais là aussi problème : il existait une loi contre ça ! » s’étrangle-t-il. Le ministre se revoit alors courir dans les couloirs de son ministère pour trouver une solution, appeler à l’aide au téléphone, en vain.
« Quand j’ai voulu me calmer en signant des traités de libre-échanges
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