A Brassac-les-Mines, les traditions occultes ont la vie dure. Lors de la tempête Bella, une ménagère de 55 ans a mis le feu à son mari pour en faire une réserve de charbon de bois.
« Dediou, un mari ça doit servir à quelque chose, sinon on en prend un autre », a déclaré sans regret Ginette Primpron, au commissariat. Cette femme s’est retrouvée hier avec son mari privée d’électricité. Plongée dans le noir, elle est soudain prise par une vive inquiétude. « Cela m’a rappelé les temps les plus sombres. Je me retrouvais sans chaudière, j’allais mourir de froid ». Aussitôt, elle décide d’enflammer son mari à l’aide d’un briquet et d’une bouteille de vodka – un alcool indispensable pour vivre à Brassac-les-Mines ». Son mari s’embrase. La police accourt sur les lieux
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