Aura lieu, n’aura pas lieu ! Les algériens en général et la classe politique en particulier sont suspendus à la décision du président de la République concernant l’organisation des élections présidentielles devant intervenir en toute logique, au mois d’avril. 3 mois seulement nous séparent donc de cette échéance capitale pour le pays mais toujours pas de décision annoncée pour le moment.
De ce fait, les observateurs de la vie politique algérienne, tout autant que les partis politiques, qu’ils soient de la majorité présidentielle ou de l’opposition, se livrent à des analyses et y vont de leur propres opinion concernant l’avenir du pays. Pendant ce temps-là, alors qu’aucun parti ni aucune personne ne s’est annoncé comme candidat potentiel, certains habitués des élections commencent à bouger plus ou moins discrètement pour
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