Selon le ministère de l’Intérieur, plusieurs membres du chœur de l’armée française étaient toujours ce matin dans un état « préoccupant » après leur participation à l’hommage rendu hier à l’hommage rendu l’an dernier aux victimes des attentats de janvier 2015.
Si la Gendarmerie nationale ne bénéficie pas de la protection que peut apporter un syndicat traditionnel, on n’hésite pas à faire entendre son ras-le-bol.« Comme pour tous les Français, l’année qui vient de se terminer a été éprouvante pour les forces de l’ordre, » indique ainsi le lieutenant M., un membre du chœur de l’armée française que le devoir de réserve contraint à l’anonymat. « Nous sommes sur le pont H24, nous sommes un bouclier et nous sommes aussi une cible. Les gars et les filles sont crevés.