La fête la plus importante du christianisme se termine dimanche et lundi prochains. Pour commémorer la résurrection de Jésus, on mange traditionnellement en Occident l’agneau pascal. Un plat dont le succès s’essouffle au fil des ans et trouve de moins en moins d’amateurs. Un Auvergnat a donc décidé d’innover.
Lors d’une des dix plaies d’Égypte, le sang de l’agneau était répandu sur les portes des Hébreux pour les épargner de la mort des premiers nés, qui ne devait frapper que les Égyptiens. Un Auvergnat végétarien, Gaston Léghazon, connu pour avoir fait des barbecues avec des pages de l’Ancien Testament, apprécie peu cette dimension sacrificielle. Il a décidé de proposer un plat alternatif : « Je cherchais quelque chose de plus soft, plus récent, plus local, qui fasse vraiment sens lors
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