Afin de favoriser le dialogue entre les joueurs de cornemuse et le reste de la population française, l’État va nommer un médiateur dans chaque département. Une nouvelle accueillie favorablement dans le milieu des personnes qui détestent l’instrument. Reportage.
Sylvain fait partie de ceux qu’on appelle plus communément les « bon gros emmerdeurs » dans le milieu des anti-cornemuses. Voilà trois ans que ce géomètre de 29 ans se passionne pour l’instrument à vent sans pour autant réussir à le maîtriser. « J’aime le son que ça produit, même si je n’arrive pas à enchaîner les notes » admet le musicien en herbe tout en tentant de jouer quelques notes du morceau Happy de Pharell Williams.
Comme Sylvain, ils seraient plusieurs milliers à se passionner pour la cornemuse, au grand détriment