Les récentes tensions politiques entre la France et l’Italie ont particulièrement touché l’Auvergne. Clermont-Ferrand a demandé hier le retrait de son ambassadeur à Rome. Conséquences des désaccords, l’Auvergne a annoncé un embargo au parmesan. Les Italiens ont riposté.
« On ne va pas se laisser faire ainsi. Fini le parmesan dans nos assiettes ! » grogne Bruno Faure, président du conseil départemental du Cantal et l’un des artisans de l’embargo. Pour l’homme politique, les Italiens méritent d’être sanctionnés pour leurs critiques. « Quoi de mieux que de cibler le parmesan, un fromage très largement exporté vers la France. Je suis sûr que l’on va vraiment leur mettre un coup ! » s’emporte Bruno Faure. Son rival, le premier ministre italien Giuseppe Conte n’a pas été sans reste : « Ma ! Puisque c’est comme
Lire la suite :