“Le Phô pas s’en faire” c’est une institution.” déplore Marc-Olivier, un client de longue date. “Depuis quinze ans, je viens tous les mardis à la pause-déjeuner pour me régaler d’un bon “Chili con car’nem”, d’un menu “C’est pas Bô-Bun la Vie ?” ou de leur formule à emporter, le “Quand Phô y aller” (8€90, seulement les midis en semaine). Alors découvrir qu’Yves ne vient pas de Hanoï, je le vis comme une trahison.”
Une déception d’autant plus grande pour les fidèles que tout dans l’enseigne laissait penser que le patron était un vietnamien pure-souche, entre la présence de guirlandes de dragons en papier au plafond, de chapeaux coniques mis à disposition des clients ou encore de la playlist “100% Chinese Music” du compte spotify d’Yves. “Sans compter qu’il portait
Source : https://www.legorafi.fr/2023/11/21/lhomme-qui-tenait-le-restaurant-pho-pas-sen-faire-en-banlieue-de-saint-etienne-netait-pas-vraiment-vietnamien/ Lire la suite :