C’est une conséquence directe du mouvement des «gilets jaunes» : de plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer les avantages dont bénéficient les sénateurs.
Et ce mouvement de contestation tombe au plus mal pour nos dynamiques parlementaires car le mois de décembre correspond à la période où est versée leur prime de Noël.
D’un montant forfaitaire égal à deux fois l’indemnité sénatoriale (soit 2 x 7209 euros), s’ajoutent à cette dernière diverses bonifications comme la prime additionnelle de Noël pour les enfants (5 000 euros par enfant), la prime pour les petits enfants (2 500 par petit enfant), celle pour Madame (8 000 euros), la prime de charbon (2 000 euros) et celle pour le sapin (800 euros).
Selon la composition de la famille, cette prime pouvait atteindre jusqu’à 50
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