A quatre mois de l’élection présidentielle, les doutes subsistent. Ira-t-il vraiment ? Est-il mort ? Qui gouverne le pays ? Bouteflika conduit le pays droit dans le mur. Le clan de la Chita réitère son soutien et augmente sa fréquence de léchage, l’opposition se dit contre le 5ème mandat mais pour la prolongation du 4ème. Une situation ubuesque qui rend la question “l’Algérie est-elle réellement un pays” légitime.
Face à ce chaos politique, le conseil constitutionnel décide (une fois n’est pas de coutume) de réagir.
“Si voter changeait quelque chose en 2019, on ne l’aurait pas annulé”
C’est en parodiant Coluche, son idole, que le président du conseil constitutionnel a annoncé ce matin une décision inattendue. “Il n’y aura pas de présidentielles, ni de campagne électorale, pour le bien du pays,
Lire la suite :