Un journaliste russe a redit sa chance de vivre dans un pays où le droit d’informer est relativement respecté.
« Hier encore je suis rentré chez moi et j’ai croisé des policiers, croyez le ou pas, je n’ai même pas fini en garde à vue » s’exclame-t-il estimant qu’il a dû sa chance à la photo de Vladimir Poutine qu’il porte toujours contre son cœur. « Je ne sais pas si j’aurai eu cette chance en France » regrette-t-il en ayant une pensées pour ces consœurs et confrères, soulignant que grâce à l’interdiction de manifestation il a ainsi moins de risque de les filmer et d’être arrêté. « Quand on voit les images de mardi dernier, on se dit qu’on a vraiment de la chance de vivre dans un pays qui protège autant les