Harcèlement, violences, voilà 25 ans que cet homme vivant dans le Bas-Rhin, au sud de Strasbourg, vit un enfer quotidien pour l’unique raison que ses parents l’ont nommé tout comme la célèbre blague que l’on se dit après avoir commencé par un « en chantier » très coutumier.
Mes parents, évidemment je leur en veux un peu, mais après tout je ne m’appelle pas Cyprine Le Pen, donc ça va.Teuse Douais
Teuse Douais, vivant dans le sud de Strasbourg vit depuis son plus jeune âge des moqueries à répétition à cause de son nom qui peut prêter à sourire. Pour lui, la blague est déjà allée trop loin.
« J’ai perdu mon job alors que j’étais tout juste embauché dans une entreprise de travaux publics et que j’ai expliqué aux personnes présentes que j’étais
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