Afin de redonner un coup de peps à la carrière de Jeremy C, sa maison de disque a eu la bonne idée de lui conseiller de mourir. Explications.
Quand nous avons questionné Pascal, le PDG de la maison de disque du jeune artiste Jéremy C, le plan marketing était clair : « Michael Jackson, Johnny Halliday, Charles Aznavour, j’en passe… Les preuves sont là ! Aujourd’hui un artiste ne cartonne jamais autant qu’après sa mort ! On a bien réfléchi, Jérémy a suffisamment de morceaux en stock pour au moins deux albums posthumes. Évidemment qu’ils ne sont pas bons, sinon on les aurait sortis avant, mais c’est pas ça qui compte ! ».
Ancienne gloire de la Star Academy, Jéremy a peiné à voir sa carrière décoller. Après un premier