Gauthier Leclercq, un trentenaire de la région parisienne ayant récemment surmonté sa phobie des seringues, se réjouit de pouvoir enfin s’injecter de l’héroïne dans les veines.
« Ça m’a pris plusieurs mois pour enfin me débarrasser de cette foutue phobie qui m’envahit depuis que je suis petit », explique Gauthier, qui s’évanouissaient toujours avant une prise de sang ou avant de prendre de la diacétylmorphine de manière intraveineuse.
« Après plusieurs mois de thérapie pas très efficaces, j’ai découvert l’hypnose et ça n’a pas mis longtemps avant que ma phobie disparaisse complètement », poursuit Gauthier, dont la peur irrationnelle des seringues l’a toujours empêché de découvrir les plaisirs euphoriques de cette drogue récréationnelle.
Si cet opiacé peut être consommé de différentes manières, Gauthier n’a jamais été intéressé par l’insufflation ou l’inhalation,