Après la polémique de ces derniers jours, les divinités ont accepté de se réunir sur la possibilité ou non de « prendre un doigt dans le cul » et si cela pouvait être bénéfice ou non pour leur image, mais aussi pour rassembler le peu de fidèles qu’elles ont encore. Reportage.
Les débats ont d’abord porté sur le nombre de doigts ainsi que sur l’hygiène supposée du porteur du doigt. « Inconcevable que l’on me mette dans mon Fondement un doigt sale » a proclamé une divinité qui a requis l’anonymat. « Il faut que ça reste dans un état de relatif consentement, on ne met pas les doigts à moins qu’il y ait eu clairement un accord verbal entre les deux parties » ajoute une autre. Un peu plus loin, les questions ont porté